5 raisons de (re)voir Grease

Grease, 1978

« It’s got groove, It’s got meaning, Grease is the time, is the place, is the motion, Grease is the way we are feeling »

Frankie Valli, Grease

Comédie musicale à succès montée à Broadway en 1972, l’adaptation cinématographique de Grease est devenu un film culte. Emmené à un rythme endiablé par John Travolta et Olivia Newton-John, c’est un condensé de good-feeling et un classique dont on ne se lasse pas. Voici 5 raisons de voir ou revoir Grease.

• Pour la musique et les chorégraphies, toutes les séquences musicales étant cultes ! Une BO entre rock et disco avec des chansons qui donnent envie de danser dès les premières notes. Mention spéciale pour Hopelessly devoted to you et You’re the one that I one qui sont mes préférées ! Et des pas de danses qui font rêver, notamment ceux du concours de danse: le rock acrobatique c’est quand même impressionnant. Et puis les voix : les acteurs ne sont pas doublés et ils chantent vraiment bien, comme si ils avaient fait ça toute leur vie !!

• Pour le couple Sandy/Dany qui est un des couples les plus mythiques du cinéma !! Couple classique, des personnes opposées s’attirent : une jeune fille de bonne famille qui tombe amoureuse du bad boy, leader du gang du lycée, mais qui sont faits l’un pour l’autre. Mais ils sont trop mignons et ils dansent excessivement bien !!!

• Pour le casting et surtout Olivia Newton-John et John Travolta qui crèvent l’écran par leur énergie mais aussi par l’alchimie entre eux. Certes, ce sont des adultes incarnant des adolescents (Olivia Newton-John avait 30 ans lors du tournage), et il en est de même pour tout le casting et ca se voit. Mais bon, ça frappe au début et puis au fur et à mesure on l’oublie grâce à leur attitudes puériles et leur légèreté.

• Pour John Travolta qui danse et chante comme un dieu. Qui a une démarche inimitable un peu cambré, jouant des épaules… bref, la démarche du parfait bad boy. Qui a une banane gominée parfaite et qui porte le blouson de cuir noir comme personne.

• Et enfin pour les costumes et les décors qui sont délicieusement rétros et qui sont une explosion de couleurs. On est plongé dans l’Amérique des années 70 avec une esthétique un kitsch et un peu cucu parfois mais qui fait tout le charme du film.

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